A ma connaissance, 3600 partants sur le marathon,11 TCjistes finishers :
- Muriel 3h22’, 273ème, mais surtout 8ème féminine
- Damien 3h24’, 313ème
- Seb Maigne 3h31’, 472ème
- Moi 3h46’, 886ème
- Franck Davignon (ex-TCJ, mais toujours avec la tenue du club), 4h06’, 1564ème
- Cyrille LB 4h07’, 1609ème
- Fafa 4h11’, 1721ème
- David Huck 4h22’, 2057ème
- Marie-Reine, 4h24’, 2136ème, 189ème féminine
- Denis Crochu 4h27’, 2207ème
Il me manque Rémy, je ne connais pas son nom de famille (il m’a doublé au 28ème km).
Mes impressions : un tracé très sympa, ne faire qu’une seule boucle est vraiment un plus. Les conditions météo étaient idéales au départ, 16 degrés, un petit voile nuageux. Nous sommes portés par le monde au bord de la route jusqu’au 3ème km (sans oublier ma famille présente avant le 2ème km), puis on se retrouve sur les chemins de la Loire à vélo, il y a d’un coup beaucoup moins de spectateurs. Le chemin est assez étroit, mais on peut dérouler sa foulée sans problèmes. On reprend la route à partir de Savonnières, la foule est présente jusqu’à Villandry, c’est la fête. La traversée des jardins du château est un peu casse-pattes, mais c’est tellement joli que ça passe tout seul (en plus, je me fais interpeler par un ancien pote de boulot lorsque je bossais à Paris, incroyable, cela faisait 12 ans que l’on ne s’était pas vu, et il ne courait pas à l’époque ; nous avons parcouru plus de 15 bornes ensemble !). Puis on prend le pont de Savonnières direction « le bout du monde ». Je fais le point au 23ème km, je suis quasiment à 12km/h, 5min01 au km pour être précis, tout va bien… mais il commence à faire franchement chaud, les passages ombrageux se font inexistants, je commence à piocher. On rejoint la Loire vers le 27ème km, il ne reste alors plus qu’une longue ligne droite de 15km, bien ensoleillée. Il y en a de plus en plus qui marchent ou qui s’écroulent, je pense à bien m’asperger d’eau à chaque ravitaillement, je prends chaque fois mon temps, peut-être un peu trop. Heureusement il y a de l’eau tous les 2,5km (et du solide tous les 5km). Ma famille est encore présente au 40ème km et ma femme m’accompagne sur une centaine de mètres. A partir de là, ça sent l’arrivée et je me laisse gagner par une certaine euphorie, avec toujours en tête le fait que je n’ai fait « que » accomplir la dernière épreuve d’un Ironman… punaise, je ne sais pas si j'arriverai un jour à franchir le cap !!!
Merci à tous ceux présents sur le bord de la route pour nous encourager (Béné, Fabien, Nico(s), Fabrice, Bruno, Hervé, Christophe etc…).